Programme ordinaire |
en milliers de $E.-U. |
|
Programme de travail |
89 835 |
|
Virements budg�taires |
(2 600) |
|
Programme de travail final |
87 235 |
|
R�sultats du Programme |
86 326 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en milliers de dollars E.-U. |
909 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en pourcentage |
1% |
|
Programme de terrain |
en milliers de $E.-U. |
|
Ex�cution projets extrabudg�taires (FF et PNUD) |
118 934 |
|
Ex�cution projets secours d'urgence - fonds extrabudg�taires |
173 528 |
|
Ex�cution PCT |
35 390 |
|
Total ex�cution Programme de terrain |
327 852 |
|
Ratio Programme de terrain/Programme ordinaire |
3.8 |
|
Services d'appui technique, d�penses de personnel (cadre organique) |
11 304 |
|
Services d'appui technique, % de l'ex�cution |
3% |
Programme ordinaire |
en milliers de $E.-U. |
|
Programme de travail |
16 418 |
|
Virements budg�taires |
(50) |
|
Programme de travail final |
16 368 |
|
D�penses |
16 273 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en milliers de dollars E.-U. |
95 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en pourcentage |
1% |
|
Programme de terrain |
en milliers de $E.-U. |
|
Ressources extrabudg�taires: fonds fiduciaires et PNUD |
4 210 |
|
Ressources extrabudg�taires: projets d'urgence |
489 |
|
Ex�cution PCT |
3 439 |
|
Total ex�cution Programme de terrain |
8 138 |
|
Ratio Programme de terrain/Programme ordinaire |
0.5 |
|
Services d'appui technique, d�penses de personnel (cadre organique) |
1 485 |
|
Services d'appui technique, % de l'ex�cution |
18% |
R�sultats du Programme |
|||||||
|
Approuv�es |
Supprim�es/ |
Non planifi�es |
Total |
Ex�cut�es |
Ex�cution en |
|
Non modifi�es |
Modifi�es |
||||||
M�thodologies et directives |
28 |
(8) |
4 |
24 |
18 |
6 |
86% |
Coordination et �change d'informations |
4 |
0 |
0 |
4 |
3 |
1 |
100% |
Syst�mes d'information et bases de donn�es |
9 |
0 |
0 |
9 |
7 |
2 |
100% |
Engagements et accords internationaux |
3 |
0 |
0 |
3 |
3 |
0 |
100% |
R�unions |
4 |
0 |
4 |
8 |
8 |
0 |
200% |
Publications |
5 |
0 |
3 |
8 |
6 |
2 |
160% |
Formation |
10 |
(1) |
1 |
10 |
7 |
3 |
100% |
Appui aux �tats Membres et aux activit�s de terrain |
22 |
(1) |
3 |
24 |
22 |
2 |
109% |
193. La priorit� a �t� accord�e � l'�laboration de normes du Codex et au renforcement du contr�le de la qualit� des aliments au niveau national du point de vue du commerce international et de la mise en uvre des accords du Cycle d'Uruguay de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). On s'est efforc� �galement de favoriser le bien-�tre nutritionnel gr�ce aux strat�gies �labor�es par la Conf�rence internationale sur la nutrition (CIN) et le Sommet mondial de l'alimentation (SMA).
194. Planification et politiques en mati�re de nutrition. On a assur� le suivi de la CIN et du SMA en apportant une aide � l'application de plans d'action nationaux en faveur de la nutrition, � l'identification des priorit�s, � la formulation de projets, au d�veloppement des infrastructures, au renforcement des capacit�s et � l'appui aux politiques. Ce travail a �t� compl�t� par des directives sur les interventions nutritionnelles au b�n�fice de groupes vuln�rables tels que les femmes et les personnes �g�es, diffus�es par l'interm�diaire d'ateliers r�gionaux. Des directives concernant l'incorporation de consid�rations nutritionnelles dans la recherche agronomique ont �t� �labor�es et pass�es en revue � l'occasion d'ateliers sous-r�gionaux; leur diffusion a �t� facilit�e par la mise en place de r�seaux de communication.
195. �valuation des produits alimentaires et de la nutrition. Des normes et des r�f�rences concernant les besoins en nutriments ont �t� mises � jour compte tenu de l'�volution des connaissances scientifiques. Un manuel sur les besoins nutritionnels de l'�tre humain a �t� �labor� � la suite d'un r�examen de l'�tat actuel des connaissances sur les besoins en oligo-�l�ments � la Consultation mixte d'experts FAO /OMS de 1998.
196. Les facteurs nutritifs � utiliser dans les bilans alimentaires pour le calcul de l'apport alimentaire en �nergie et en nutriments ont �t� revus au niveau des pays. Un manuel sur les indicateurs alimentaires et nutritionnels permettant de surveiller l'impact des plans nationaux pour la nutrition a �t� �labor�. Cette initiative �tait li�e � l'�valuation de l'ins�curit� alimentaire et de la vuln�rabilit�, entreprise dans le cadre des Syst�mes d'information et de cartographie sur l'ins�curit� alimentaire et la vuln�rabilit� (SICIAV) (voir le Programme 2.2.2).
197. Des travaux sur la composition des aliments sont n�cessaires pour �valuer la nutrition et surveiller la qualit� et la s�curit� sanitaire des aliments. La troisi�me Conf�rence internationale sur les donn�es alimentaires, accueillie par la FAO, a permis de faire le point sur les connaissances en mati�re de production et de diffusion de donn�es concernant la composition des aliments et de faciliter ainsi la formulation de programmes FAO sur la composition des aliments. Deux cours de niveau post universitaire sur la composition des aliments ont �t� organis�s en Afrique australe, avec le concours de l'Universit� des Nations Unies. Les �tudiants, venus de 15 pays en d�veloppement, ont con�u des bases de donn�es nationales sur la composition des aliments. Des cours sur l'analyse des nutriments ont �t� organis�s en Am�rique centrale et du sud; des cours de formation informatique � l'�laboration de logiciels sur la composition des aliments ont eu lieu en Europe centrale et orientale. Un soutien a �t� apport� � la publication de quatre bases de donn�es et tableaux nationaux de composition des aliments et de deux bases et tableaux r�gionaux, de trois logiciels et de huit num�ros du Journal of Food Composition and Analysis.
198. Programmes nutritionnels. On a continu� d'apporter un soutien � la r�alisation d'actions collectives visant � am�liorer la s�curit� alimentaire et la nutrition dans les foyers gr�ce � des publications, au renforcement des capacit�s, � des conseils en mati�re de politiques et de programmes et � un appui technique. Un manuel de formation intitul� Improving Nutrition through Home Gardening a �t� pr�par� pour l'Afrique et l'Am�rique latine et compl�te la version destin�e � l'Asie. Le cours de formation, Gestion du Programme de terrain: aliments et nutrition, a �t� mis � jour et le deuxi�me volume de la s�rie sur la nutrition participative, Preparing Microproject Proposals to Improve Household Food Security and Nutrition, a �t� pr�par�. Des participants de 11 pays ont assist� � un atelier sur la promotion de la s�curit� alimentaire dans les foyers en Afrique de l'Est et australe afin d'�laborer des approches adapt�es par le biais de politiques macro-�conomiques, de programmes sectoriels et d'actions communautaires. L'appui apport� au programme de terrain a produit des r�sultats qui ont �t� inclus dans des activit�s visant � am�liorer la nutrition.
199. Le programme nutritionnel a multipli� ses activit�s pour aider la FAO � faire face aux situations d'urgence. Un manuel, Protecting and Promoting Good Nutrition in Relief and Rehabilitation - a Practical Guide, a �t� �labor� et des conseils et une aide ont �t� fournis � plusieurs pays. La collaboration a �t� renforc�e avec le Programme alimentaire mondial (PAM) et avec d'autres organismes s'occupant d'op�rations d'urgence.
200. Le programme a �galement permis de r�pondre au besoin continu d'activit�s d'�ducation en mati�re de nutrition collective et de mode de vie. On s'est particuli�rement attach� � promouvoir l'�laboration et l'utilisation de directives di�t�tiques en apportant un soutien � des r�unions et ateliers internationaux. L'enseignement nutritionnel dans les �coles primaires a �t� davantage encourag�. La publication Health Nutrition: an Essential Element of a Health Promoting School a �t� produite en collaboration avec l'OMS dans le cadre d'une s�rie de brochures d'information sur la sant� � l'�cole et l'on a commenc� � pr�parer du mat�riel p�dagogique afin d'inclure les questions de nutrition dans les programmes des �coles primaires des pays en d�veloppement. La pochette d'information, Profitons au mieux de notre nourriture, a �t� traduite dans des langues locales afin d'�tre plus largement diffus�e. Des partenariats ont �t� �tablis avec des groupes de produits (sucre, lait et produits laitiers, et agrumes) afin que leurs travaux tiennent compte de consid�rations nutritionnelles.
201. Cinq num�ros de la revue trilingue Alimentation, nutrition et agriculture ont �t� publi�s et introduits sur les pages du site Internet relatives � l'alimentation et � la nutrition qui fournissent des informations sur les activit�s et les r�alisations de la Division de l'alimentation et de la nutrition (ESN).
202. Contr�le des aliments et protection des consommateurs. Le programme a permis de r�pondre aux exigences et aux probl�mes sans cesse plus nombreux qui se posent en mati�re de s�curit� sanitaire des aliments dans le commerce international et aux demandes d'assistance pour le renforcement du contr�le de la qualit� des produits dans les pays, y compris l'�valuation des risques microbiologiques. Des �valuations scientifiques des risques associ�s � l'utilisation d'additifs alimentaires et � la pr�sence de contaminants chimiques et microbiologiques se sont poursuivies par l'interm�diaire du Comit� mixte FAO/OMS d'experts des additifs alimentaires (JECFA). Les activit�s sp�cifiques ont notamment �t� la Consultation d'experts FAO/OMS sur l'�valuation du risque microbiologique dans les aliments et la Consultation d'experts FAO sur l'incidence commerciale des Listeria dans le poisson.
203. Des contacts ont �t� maintenus avec l'OMC sur les questions touchant � l'application des accords sur les mesures sanitaires et phytosanitaires (MPS) et les obstacles techniques au commerce (OTC). On a organis� des ateliers et des s�minaires afin de mieux faire comprendre l'analyse des risques et les normes du Codex Alimentarius ainsi que les directives et les recommandations qui permettent de faire respecter ces accords de l'OMC. Des modules de formation et d'information ont �t� pr�par�s � cette fin. Une aide a �t� fournie aux pays en d�veloppement et en transition pour leur permettre de renforcer les syst�mes nationaux de contr�le des produits alimentaires.
204. On s'est occup� de former du personnel du secteur public, de l'industrie et des universit�s � l'utilisation de bonnes pratiques d'hygi�ne dans la production alimentaire et � l'application de syst�mes d'assurance de la qualit� tels que le syst�me HACCP (analyse des risques aux points critiques). Un manuel de formation a �t� �labor� et test� sur le terrain.
205. On a modifi� certaines activit�s et objectifs afin de s'occuper de priorit�s nouvelles telles que l'�valuation des risques microbiologiques et l'application de programmes prioritaires comme le Programme cadre de la FAO sur le Cycle d'Uruguay et les futures n�gociations commerciales multilat�rales sur l'agriculture. Malgr� trois vacances de postes du cadre organique et une vacance de poste de la cat�gorie des services g�n�raux, le programme a continu� en ayant recours � des consultants sp�cialis�s et des partenariats.
206. Programme mixte FAO/OMS sur les normes alimentaires. Une s�rie rapproch�e de r�unions techniques a abouti � la vingt-troisi�me session de la Commission du Codex Alimentarius en juillet 1999. D'importants changements ont �t� apport�s � la direction des travaux du Programme mixte sur les normes alimentaires. Les proc�dures ont �t� modifi�es de fa�on � am�liorer la transparence des relations avec les organisations non gouvernementales (ONG) internationales. De nouvelles �quipes de travail, dot�es de mandats limit�s dans le temps, ont �t� constitu�es et charg�es de s'occuper des aliments du b�tail, des aliments d�riv�s des biotechnologies et de la r�vision des normes de la Commission sur les jus de fruit; 42 normes, directives ou autres recommandations nouvelles ou r�vis�es ont �t� adopt�es, y compris les limites maximales recommand�es de r�sidus de 40 produits chimiques agricoles et v�t�rinaires dans les aliments.
207. La publication de normes et autres textes a �t� retard�e pour des raisons techniques et budg�taires. Les textes adopt�s par la session de la Commission de 1999 seront publi�s au premier trimestre 2000.
208. On s'est occup� en priorit� d'�laborer des normes Codex et de renforcer les syst�mes nationaux de contr�le de la qualit� des aliments dans le cadre du commerce international et de l'application des accords du Cycle d'Uruguay/OMC. Les s�ries de s�minaires et d'ateliers ont continu� d'�tre organis�es � tous les niveaux pour renforcer les capacit�s des pays en d�veloppement � participer aux travaux du Codex et � cr�er et g�rer des structures Codex dans leur pays. La priorit� a �t� aussi accord�e au suivi national du SMA et de la CIN.
Programme ordinaire |
en milliers de $E.-U. |
|
Programme de travail |
40 631 |
|
Virements budg�taires |
(100) |
|
Programme de travail final |
40 531 |
|
D�penses |
40 761 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en milliers de dollars E.-U. |
(230) |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en pourcentage |
(1%) |
|
Programme de terrain |
en milliers de $E.-U. |
|
Ressources extrabudg�taires: fonds fiduciaires et PNUD |
7 022 |
|
Ressources extrabudg�taires: projets d'urgence |
55 |
|
Ex�cution PCT |
3 533 |
|
Total ex�cution Programme de terrain |
10 610 |
|
Ratio Programme de terrain/Programme ordinaire |
0.3 |
|
Services d'appui technique, d�penses de personnel (cadre organique) |
1 721 |
|
Services d'appui technique, % de l'ex�cution |
16% |
R�sultats du Programme |
|||||||
|
Approuv�es |
Supprim�es/ |
Non planifi�es |
Total |
Ex�cut�es |
Ex�cution en |
|
Non modifi�es |
Modifi�es |
||||||
M�thodologies et directives |
30 |
(6) |
1 |
25 |
21 |
4 |
83% |
Coordination et �change d'informations |
11 |
0 |
0 |
11 |
10 |
1 |
100% |
Syst�mes d'information et bases de donn�es |
47 |
(4) |
11 |
54 |
52 |
2 |
115% |
Engagements et accords internationaux |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
R�unions |
5 |
0 |
1 |
6 |
6 |
0 |
120% |
Publications |
20 |
(4) |
8 |
24 |
24 |
0 |
120% |
Formation |
8 |
(1) |
0 |
7 |
7 |
0 |
88% |
Appui aux �tats Membres et aux activit�s de terrain |
17 |
0 |
2 |
19 |
19 |
0 |
112% |
209. Le programme a �t� ax� sur la collecte et la diffusion d'informations sur l'alimentation et l'agriculture, en particulier gr�ce au Centre mondial d'information agricole (WAICENT), la priorit� �tant donn�e:
210. Les principales r�alisations ont concern� l'enrichissement et la mise � jour des bases de donn�es mondiales sur l'alimentation et l'agriculture, le renforcement des capacit�s nationales � fournir des statistiques appropri�es sur l'alimentation et l'agriculture, la publication de rapports sur la situation et les perspectives concernant les produits et le d�veloppement des activit�s des SICIAV. Le Syst�me mondial d'information et d'alerte rapide (SMIAR) a continu� de surveiller l'offre et la demande mondiales de produits alimentaires et d'alerter la communaut� internationale � propos des pays et des r�gions menac�es par des p�nuries alimentaires.
211. Traitement et analyse des statistiques. Les travaux ont notamment port� sur l'�tablissement et l'am�lioration des bases de donn�es statistiques, en particulier des s�ries statistiques normalis�es portant sur:
212. Les donn�es, regroup�es et diffus�es sur Internet, sur CD-ROM et dans les annuaires de la FAO ont �t� utilis�es dans des �tudes �conomiques et de politiques ainsi que pour �tablir des pr�visions �conomiques. Des comptes disponibilit�s-utilisations et des bilans alimentaires ont �t� publi�s pour tous les pays. Ces informations ont servi � �valuer des sch�mas et des tendances de l'offre de produits et � estimer le nombre de personnes sous-aliment�es (voir les SICIAV). Des directives ont �t� mises au point pour l'�tablissement de comptes �conomiques pour l'agriculture et la pr�paration et l'utilisation de bilans alimentaires. Une aide a �t� fournie dans le cadre de sept ateliers internationaux pour am�liorer les comptes disponibilit�s-utilisations, les bilans alimentaires et les comptes �conomiques pour l'agriculture. On a r�vis� les estimations sur la population et la population active agricole.
213. En raison de contraintes financi�res, les travaux concernant l'�laboration de directives sur la collecte de statistiques relatives � l'utilisation des terres et l'emploi de produits agrochimiques pour �tablir des indicateurs sur l'environnement et des donn�es connexes ainsi que les travaux de mise � jour de la base de donn�es sur les prix obtenus et pay�s par les agriculteurs ont �t� remis � une date ult�rieure.
214. �tablissement de statistiques. Il s'est agi avant tout de renforcer la capacit� des syst�mes statistiques nationaux � fournir des donn�es fiables et r�centes sur l'alimentation et l'agriculture. La FAO a lanc� un nouveau programme visant � renforcer ce type d'activit� en Afrique, en collaboration avec la Banque mondiale et le D�partement de l'agriculture des �tats-Unis (USDA). Dans le cadre du Programme de coop�ration FAO/Banque mondiale, sept pays ont b�n�fici� d'une aide pour �tablir un cadre de programme statistique sur l'alimentation et l'agriculture. Un atelier a eu lieu en Guin�e en juin 1999 afin de d�finir les orientations des futures activit�s.
215. Des r�sum�s des recensements nationaux de l'agriculture ont �t� diffus�s sur le site Internet de la FAO. Le rapport sur le recensement mondial de l'agriculture, 1990, International Comparison and Primary Results by Country, a �t� publi�. Une aide � la planification et � l'organisation de recensements nationaux de l'agriculture a �t� fournie dans le cadre d'ateliers organis�s en Asie, dans le Pacifique et en Am�rique latine.
216. Les besoins des pays membres ont �t� pris en compte � l'occasion de sessions des organes statutaires r�gionaux de la FAO:
217. Les questions ont concern� entre autres les cadres statistiques sur l'alimentation et l'agriculture dans les pays africains et les statistiques sur l'aquaculture. Des ateliers sur les utilisateurs/producteurs de donn�es ont �t� organis�s dans quelques pays choisis. En collaboration avec les Bureaux r�gionaux et sous-r�gionaux, une aide a �t� fournie � des pays membres pour l'identification et la formulation de projets de terrain pouvant faciliter l'�tablissement de statistiques agricoles.
218. Situation et perspectives des produits. Une plus grande transparence des march�s et une aide � l'information ont �t� possibles gr�ce au suivi et � la diffusion d'informations sur les march�s mondiaux de produits et l'�volution du commerce pour plus de 80 produits. On s'est attach� � affiner et � am�liorer les renseignements concernant certains produits prioritaires non traditionnels et moins connus. On s'est efforc� d'am�liorer la diffusion des informations gr�ce � l'utilisation de meilleures techniques, � des moyens �lectroniques et � la mise en r�seau. Un service hebdomadaire d'information sur le prix des produits a �t� mis en place et des mises � jour bimensuelles et trimestrielles pour le riz, les graines ol�agineuses, les l�gumineuses et la viande ont �t� publi�es sur des supports �lectroniques. Des r�seaux �lectroniques d'information ont �t� cr��s pour les produits laitiers, la viande, les ol�agineux, les l�gumineuses, le riz et les fibres, et une conf�rence �lectronique internationale sur le commerce international et le secteur laitier a �t� organis�e pour faciliter l'�change d'informations sur les produits entre parties int�ress�es dans le monde entier. Les donn�es ont servi � pr�parer les analyses et les documents sur les march�s et le commerce qui ont �t� pr�sent�s � des instances intergouvernementales telles que le Comit� des produits (CP), ses groupes intergouvernementaux subsidiaires et le Comit� de la s�curit� alimentaire mondiale (CSA). Elles ont �t� utilis�es dans des publications de la FAO telles que le Rapport sur les march�s des produits, la Situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture (SOFA) et Les perspectives de l'alimentation ainsi que pour soutenir des activit�s de d�veloppement dans le domaine des produits.
219. Deux num�ros du Rapport sur les march�s des produits ont �t� publi�s. Ce rapport reste la principale publication de la FAO sur les perspectives � court terme d'une large gamme de produits agricoles pr�sentant un int�r�t au plan des importations et des exportations, notamment pour les pays en d�veloppement. Le rapport pr�sente les r�sultats d'�valuations r�alis�es par la FAO sur des questions li�es au Cycle d'Uruguay, notamment:
220. On a termin� des projections sur les produits � l'horizon 2005 en tenant compte de l'impact de la poursuite des r�formes du commerce agricole et des effets de la crise �conomique dans diverses parties du monde. Les r�sultats ont �t� pr�sent�s sous forme de r�sum�s � l'occasion de r�unions intergouvernementales et techniques. Des �tudes prospectives conjointes ont �t� r�alis�es par l'Organisation internationale du sucre, l'Organisation internationale du caf� et le Comit� consultatif international du coton. Pour tenir compte des priorit�s exprim�es par le CSA, le CP et d'autres instances, priorit� a �t� donn�e � la production d'information en vue d'une assistance technique pour le suivi du Cycle d'Uruguay et la pr�paration des n�gociations de l'OMC.
221. Syst�me mondial d'information et d'alerte rapide. Le SMIAR a continu� de surveiller l'offre et la demande mondiales de produits alimentaires et d'alerter la communaut� internationale � propos des pays et des r�gions menac�es par des p�nuries alimentaires. Des �valuations ont �t� fournies dans Perspectives de l'alimentation, Cultures et p�nuries alimentaires, Rapport sur l'Afrique et Sahel: situation m�t�orologique et �tat des cultures. En outre, 69 alertes/rapports sp�ciaux ont �t� publi�s pour des r�gions ou des pays confront�s � des crises alimentaires. Au total 62 missions ont �t� envoy�es dans des pays touch�s par des catastrophes naturelles ou caus�es par l'homme. L'augmentation de la demande pour ce type de mission a exc�d� la capacit� financi�re du SMIAR, d'o� des besoins non satisfaits. Le SMIAR est rest� charg� de traiter les demandes d'assistance du PAM, sous r�serve de l'approbation du Directeur g�n�ral de la FAO et du Directeur ex�cutif du PAM. Il a contribu� aux notes d'information sur l'�valuation des produits alimentaires destin�es au Groupe de travail du Comit� permanent interorganisations du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA/ONU). Le SMIAR a continu� de coop�rer avec le Programme alimentaire mondial, en particulier pour l'envoi de missions FAO/PAM d'�valuation des disponibilit�s alimentaires dans les zones touch�es.
222. On est parvenu � renforcer la capacit� du SMIAR � fournir aux d�cideurs et aux organismes d'aide du monde entier des informations objectives � jour et � alerter la communaut� internationale � propos des crises alimentaires imminentes. Des investissements ont �t� r�alis�s dans des m�thodes novatrices pour la collecte, l'analyse et la diffusion d'informations d'alerte rapide et l'utilisation � grande �chelle d'Internet pour la diffusion des informations. Un logiciel multilingue sp�cialis� pour l'alerte rapide - le poste de travail SMIAR - reli� � des bases de donn�es contenant des informations sur la s�curit� alimentaire � tous les niveaux a �t� con�u. Le logiciel du SMIAR est utilis� d�sormais dans plus de 10 syst�mes nationaux/r�gionaux d'alerte rapide et des accords d'�change de donn�es sont en place avec des organismes de coop�ration. Les r�sultats du SMIAR ont continu� d'�tre diffus�s sur l'Internet et un nouveau syst�me, Geo Web (http://geoweb.fao.org) qui permet d'avoir acc�s aux bases de donn�es du bureau du SMIAR a �t� mis en place. Les pages Web du SMIAR ont re�u plus de 1 700 visites par jour en 1998 (1,6 million sur l'ensemble de l'ann�e) provenant de 60 000 ordinateurs. Le SMIAR a particip� activement � l'�valuation de la vuln�rabilit� pour l'Asie et a contribu� � la mise au point de techniques de cartographie et de diffusion des donn�es pour les SICIAV.
223. WAICENT/FAOSTAT. Le Centre mondial d'information sur l'agriculture s'est impos� comme le programme de la FAO assurant la gestion et la diffusion d'informations sur l'agriculture en fournissant des syst�mes d'acc�s aux sources d'information de l'Organisation par l'interm�diaire d'Intranet/Internet, de CD-ROM et de mat�riel imprim�.
224. La base de donn�es multilingues sur les s�ries statistiques chronologiques de la FAO a �t� diffus�e sur Internet et CD-ROM. Le syst�me a continu� d'�tre am�lior�, notamment par l'ajout de nouvelles collections de donn�es statistiques, de cycles de mise � jour plus r�guliers et de proc�dures automatis�es pour am�liorer la compatibilit� et l'int�grit� des donn�es statistiques actualis�es. De nouvelles techniques ont �t� mises au point pour am�liorer l'acc�s aux bases de donn�es; le nombre de fiches de la Base de donn�es statistiques fondamentales de l'Organisation (FAOSTAT) t�l�charg�s � partir de l'Internet a tripl�. Les r�sultats ont d�pass� les activit�s programm�es: les pays membres ont eu acc�s � de nouveaux syst�mes d'information sp�cialis�s, l'acc�s � la base de donn�es par l'interm�diaire d'Internet a �t� am�lior� et un service Extranet a �t� mis en place. Des outils de cartographie et de visualisation ont �t� mis au point dans le cadre du programme SICIAV et un atelier sur des essais pilotes a �t� parrain� au Mali.
TABLEAU 2.2-1: WAICENT/FAOSTAT - INDICATEURS CHOISIS
Description |
1996-97 |
1998-99 |
Jeux de donn�es statistiques suppl�mentaires mis � disposition � l'int�rieur de l'Organisation |
24 |
38 |
Jeux de donn�es statistiques mis � disposition � l'ext�rieur |
22 |
35 |
Nouveaux syst�mes d'information sp�cialis�s |
- |
12 |
Nombre moyen de rapports t�l�charg�s par mois |
4 206 780 |
12 647 670 |
225. Des �tudes ont �t� r�alis�es pour �valuer les besoins d'information de groupes cibles au niveau mondial ainsi que les demandes de service WAICENT. Une pochette promotionnelle a �t� distribu�e aux repr�sentations permanentes de la FAO, aux bureaux de terrain, aux minist�res de l'agriculture et aux ONG pour encourager la promotion des syst�mes d'information WAICENT de la FAO et de moyens permettant d'atteindre les centres de coordination, pour leur approbation. Des pr�sentations et des promotions du Centre ont �t� organis�es dans plusieurs pays membres.
226. Le site Internet de la FAO a �t� am�lior� tant du point de vue de la quantit� que de la qualit� des informations. L'infrastructure technique a �t� perfectionn�e de fa�on � pouvoir absorber l'augmentation de la demande d'information (6,5 millions visites en moyenne en d�cembre 1999 et le site Internet de la FAO a �t� class� parmi les meilleurs sites agricoles par l'Encyclopaedia Britannica). Le programme a men� � bien un certain nombre d'activit�s n�cessaires mais non pr�vues auxquelles l'organisation a accord� la priorit�. Des moyens et proc�dures de publication des informations dans toutes les langues officielles ont �t� �labor�s et appliqu�s � un certain nombre de sites th�matiques de l'Internet. C'est pourquoi la couverture linguistique sur le site FAO s'est consid�rablement am�lior�e. Des innovations ont permis � des usagers ext�rieurs d'avoir acc�s � des informations et � des documents techniques gr�ce � une combinaison de techniques de recherche et d'indexation des textes dans leur int�gralit�. Les services d'Intranet ont �t� am�lior�s au si�ge et dans les bureaux de terrain. Le site Internet des repr�sentations permanentes a �t� mis en place et des CD-ROM ont �t� produits � partir de sources FAOINFO, permettant ainsi l'acc�s � l'information m�me en l'absence de services Internet. L'architecture technique des archives �lectroniques de l'organisation a �t� termin�e; le syst�me contient plus de 2 300 documents.
TABLEAU 2.2-2: WAICENT/FAOINFO - INDICATEURS CHOISIS
Description |
1996-97 |
1998-99 |
Nombre moyen de visites sur le site Internet de la FAO pendant l'exercice |
1 138 110 |
3 827 000 |
Nombre moyen de sessions d'usagers de l'Internet pendant l'exercice |
48 380 |
180 770 |
Nombre moyen de visites � la fin de l'exercice |
1 822 910 |
6 500 000 |
Nombre moyen de sessions d'usagers d'Internet � la fin de l'exercice |
86 785 |
360 000 |
227. La quatri�me Consultation technique des centres participant � AGRIS/CARIS a eu lieu en juin 1998 et une session de suivi du Comit� consultatif en mars 1998. Elles ont toutes deux recommand� de recentrer les activit�s sur le renforcement des capacit�s et de revoir les syst�mes actuels compte tenu des nouvelles techniques d'information disponibles. Il a �t� demand� � la FAO d'�tudier la faisabilit� d'une gestion d�centralis�e des intrants et des donn�es. Des activit�s initiales en vue d'appliquer ces recommandations ont �t� r�alis�es.
228. La partie traitement d'AGRIS a �t� transf�r�e au si�ge sans probl�me. Le r�seau AGRIS/CARIS a �t� renforc� gr�ce � la cr�ation d'un site Internet AGRIS/CARIS en tant que portail du Centre WAICENT pour l'information sur la recherche agricole. De nouveaux moyens de recherche de donn�es ont �t� mis au point et un prototype de CD-ROM a �t� fourni au centre AGRIS. On a continu� d'am�liorer le syst�me: des sp�cifications ont �t� pr�par�es concernant de nouveaux outils et la version de l'interface entre le catalogue de la FAO et les archives de l'Organisation a �t� am�lior�e. La quatri�me
�dition du Thesaurus multilingue de terminologie agricole (AGROVOC) a �t� publi�e. Une version en anglais, fran�ais et espagnol a �t� introduite sur l'Internet; les travaux concernant une version en arabe ont d�but�.
229. Des conseils permettant l'acc�s aux sources d'information de la FAO ont �t� fournis gr�ce � du mat�riel p�dagogique, des pr�sentations et des ateliers WAICENT. On a soutenu les initiatives nationales visant � am�liorer les capacit�s de gestion de l'information agricole. Une assistance technique a �t� fournie pour renforcer les centres d'information agricole; on a identifi� et formul� des projets et organis� des missions de terrain.
230. Sources d'information et biblioth�que virtuelle. Une collaboration avec la biblioth�que de l'ONU et celles des institutions a �t� mise en place. Les co�ts-b�n�fices li�s � ce r�seau de biblioth�ques ont �t� d�terminants pour la gestion efficace des ressources multim�dia de la FAO. La biblioth�que de la FAO a permis l'acc�s � plus de 1,5 million livres, 6 550 titres de revues et 2 200 titres de textes �lectroniques - plus d'un million de pages en ligne. Une formation et des directives ont �t� fournies aux D�partements techniques concernant l'utilisation de la biblioth�que virtuelle et du multim�dia. Des services de r�f�rences et de recherche de documents ont �t� mis � la disposition du personnel de la FAO et des visiteurs du site. Un service de livraison de documents a �t� fourni aux usagers et aux collaborateurs du R�seau mondial de biblioth�ques agricoles (AGLINET).
TABLEAU 2.2-3: BIBLIOTH�QUE VIRTUELLE: INDICATEURS CHOISIS
Description |
1996-97 |
1998-99 |
Titres �lectroniques, en texte int�gral |
50 |
2 200 |
Services de fourniture de documents |
746 700 |
547 000 |
Demande de recherches et r�f�rences |
98 000 |
115 570 |
Services traditionnels de biblioth�que: |
||
Pr�ts |
82 000 |
103 680 |
Bibliographies produites par le personnel charg� des r�f�rences |
20 000 |
13 100 |
Photocopies produites sur demande (pages) |
684 000 |
600 800 |
Publications ajout�es � la collection: |
||
Titres de revues (sur papier ou support
�lectronique - adjonctions |
16 |
122 |
Livres |
5 080 |
3 676 |
231. Syst�mes d'information et de cartographie sur l'ins�curit� alimentaire et la vuln�rabilit� (SICIAV). Les SICIAV ont �t� inclus dans le programme de travail et budget de 1998-99 pour donner suite aux engagements deux et sept du Plan d'action du SMA. Des ressources provenant des programmes existants du D�partement �conomique et social ont �t� allou�es aux SICIAV. Depuis leur mise en place, les SICIAV ont jou� le r�le de programme interdisciplinaire, int�ressant plusieurs divisions et d�partements au sein de la FAO. Une dimension internationale est venue s'ajouter avec la participation d'autres institutions des Nations Unies, d'organismes bilat�raux et d'ONG internationales par l'interm�diaire des 25 membres du Groupe de travail interorganisations sur les SICIAV.
232. Un secr�tariat permanent a �t� cr�� au d�but de 1999. � la fin de l'ann�e, les gouvernements avaient d�sign� des centres de coordination nationaux des SICIAV dans plus de 60 pays et au moins 50 pays avaient organis� des activit�s li�es � ces r�seaux, soit au niveau national, soit avec des partenaires de d�veloppement.
233. Des directives pour la cr�ation de SICIAV nationaux ont �t� pr�par�es et approuv�es par le Groupe de travail interorganisations et ult�rieurement par le Comit� de la s�curit� alimentaire. Les travaux ont continu� � propos des profils nationaux sur la nutrition, aboutissant � 50 profils nouveaux et/ou mis � jour d�crivant la situation de l'alimentation et de la nutrition dans les pays en d�veloppement. Des logiciels ont �t� con�us pour permettre d'�valuer des donn�es anthropom�triques et sur la consommation et pr�parer des cartes sur les insuffisances nutritionnelles. On a progress� dans la mise au point de deux logiciels qui seront utilis�s par les SICIAV � tous les niveaux: Le syst�me de cartographie des principaux indicateurs (KIMS) et le syst�me de donn�es sur les principaux indicateurs (KIDS).
234. Des activit�s visant � fournir une assistance technique et des avis sur la cr�ation de SICIAV nationaux ont d�marr�. Quatre r�unions r�gionales, deux en Asie et deux en Am�rique latine, ont port� sur l'�laboration des �l�ments nutritionnels des SICIAV. Un soutien extrabudg�taire a �t� fourni par des donateurs, notamment:
235. Le PAM a partag� les co�ts des travaux initiaux dans quatre pays. Des propositions ont �t� pr�sent�es � la Commission europ�enne sur les travaux de d�marrage de SICIAV dans huit pays et au gouvernement de la Norv�ge sur la cartographie de ces syst�mes.
236. La premi�re �dition du rapport fond� sur les SICIAV, L'�tat de l'ins�curit� alimentaire dans le monde (SOFI), a �t� lanc�e � l'occasion de la journ�e mondiale de l'alimentation de 1999. Pour ce faire, il a fallu am�liorer les estimations du nombre de personnes sous-aliment�es, y compris dans les pays d�velopp�s.
Programme ordinaire |
en milliers de $E.-U. |
|
Programme de travail |
7 517 |
|
Virements budg�taires |
(800) |
|
Programme de travail final |
6 717 |
|
D�penses |
6 695 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en milliers de dollars E.-U. |
22 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en pourcentage |
0% |
|
Programme de terrain |
en milliers de $E.-U. |
|
Ressources extrabudg�taires: fonds fiduciaires et PNUD |
2 641 |
|
Ressources extrabudg�taires: projets d'urgence |
0 |
|
Ex�cution PCT |
617 |
|
Total ex�cution Programme de terrain |
3 258 |
|
Ratio Programme de terrain/Programme ordinaire |
0.5 |
|
Services d'appui technique, d�penses de personnel (cadre organique) |
427 |
|
Services d'appui technique, % de l'ex�cution |
13% |
R�sultats du Programme |
|||||||
|
Approuv�es |
Supprim�es/ |
Non planifi�es |
Total |
Ex�cut�es |
Ex�cution en |
|
Non modifi�es |
Modifi�es |
||||||
M�thodologies et directives |
5 |
(5) |
0 |
0 |
0 |
0 |
0% |
Coordination et �change d'informations |
2 |
(1) |
0 |
1 |
1 |
0 |
50% |
Syst�mes d'information et bases de donn�es |
1 |
0 |
0 |
1 |
1 |
0 |
100% |
Engagements et accords internationaux |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
R�unions |
2 |
0 |
0 |
2 |
2 |
0 |
100% |
Publications |
13 |
(5) |
0 |
8 |
6 |
2 |
62% |
Formation |
3 |
(1) |
0 |
2 |
1 |
1 |
67% |
Appui aux �tats Membres et aux activit�s de terrain |
8 |
(1) |
0 |
7 |
7 |
0 |
88% |
237. Le programme a fourni un appui analytique aux activit�s de politiques de la FAO, en informant la communaut� internationale des principaux faits nouveaux concernant l'alimentation, l'agriculture et la s�curit� alimentaire. Les r�sultats du programme ont �t� affect�s n�gativement par la r�duction de ressources pr�vue dans le sc�nario de croissance nominale z�ro (CNZ) qui a touch� 9 objectifs approuv�s dans le PTB et par le grand nombre de postes li�s � ce programme rest�s vacants pendant 1998-99.
238. D�veloppement agricole compar�. La publication Situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture (SOFA) a continu� de fournir une analyse mondiale des �v�nements, tendances et nouveaux probl�mes ayant une incidence sur le d�veloppement agricole et rural et la s�curit� alimentaire aux plans mondial et r�gional. L'�dition SOFA de 1998 pr�sente une analyse qui d�montre comment les liens entre activit�s � l'int�rieur et en dehors de l'exploitation contribuent au d�veloppement rural et agricole.
239. Dans le cadre du suivi du Sommet, des synth�ses r�gionales et sous-r�gionales des questions strat�giques pour le d�veloppement agricole et la s�curit� alimentaire ont �t� r�alis�es en vue de la pr�paration de strat�gies couvrant des groupes �conomiques r�gionaux englobant des pays en d�veloppement et en transition.
240. Quatre �tudes de d�veloppement compar� ont �t� publi�es dans le cadre de la s�rie D�veloppement �conomique et social ou dans le cadre de la s�rie Politiques agricoles et d�veloppement �conomique.
241. L'agriculture dans le d�veloppement �conomique. Les travaux ont continu� sur la conception de politiques efficaces et durables en faveur de la croissance agricole et de la s�curit� alimentaire. � la suite d'un colloque qui a eu lieu en 1996, Agricultural Values of Plant Genetic Ressources a �t� copubli� avec l'Universit� Tor Vergata et le Centre pour l'agriculture et les sciences biologiques internationales (CABI). Les travaux sur ce sujet se sont poursuivis dans le but d'apporter un soutien � la Commission des ressources g�n�tiques. Des directives pour l'int�gration de l'agriculture et du d�veloppement rural durables (ADRD) dans les politiques agricoles ont �t� traduites dans d'autres langues.
242. Des �tudes internationales compar�es - Agricultural in the Transition Process, On/Off-farm Income and Farm/Off-farm Links - ont �t� achev�es. Des ateliers ont �t� organis�s avec les chercheurs participants pour pr�parer les conclusions qui seront publi�es pendant le prochain exercice. Une �tude sur les investissements dans l'agriculture aux fins de la s�curit� alimentaire a �t� pr�par�e � l'intention du CSA.
243. La collaboration s'est poursuivie avec le Bureau r�gional pour l'Europe (REU) afin d'aider les pays d'Europe centrale et orientale en transition dans les domaines des politiques agricoles et de l'analyse �conomique, d'assurer le secr�tariat de la Commission europ�enne d'agriculture et de ses organes subsidiaires et d'organiser des ateliers et consultations � l'intention des hauts fonctionnaires nationaux, en vue de l'�laboration de recommandations concernant les politiques et leur application.
244. Analyse des projets agricoles. Des services d'appui et de soutien technique ont �t� fournis aux interventions d'urgence de la FAO et au Groupe de coordination pour les situations d'urgence et � la composante concernant l'analyse des contraintes du PSSA.
245. Un appui technique a �t� fourni aux politiques, programmes et projets portant sur la s�curit� alimentaire essentiellement par l'interm�diaire des fonctionnaires des bureaux d�centralis�s. Il a concern� surtout l'application de directives nationales concernant les SICIAV, d'autres syst�mes d'alerte rapide et d'information sur l'alimentation et des activit�s de pr�paration aux catastrophes. Un guide sur la cr�ation de syst�mes d'alerte rapide et d'information sur la s�curit� alimentaire sera publi� en 2000.
Programme ordinaire |
en milliers $E.-U. |
|
Programme de travail |
11 945 |
|
Virements budg�taires |
(400) |
|
Programme de travail final |
11 545 |
|
D�penses |
11 522 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en milliers de dollars E.-U. |
23 |
|
(Sur-utilisation)/Sous-utilisation, en pourcentage |
0% |
|
Programme de terrain |
en milliers de $E.-U. |
|
Ressources extrabudg�taires: fonds fiduciaires et PNUD |
7 686 |
|
Ressources extrabudg�taires: projets d'urgence |
56 |
|
Ex�cution PCT |
733 |
|
Total ex�cution Programme de terrain |
8 475 |
|
Ratio Programme de terrain/Programme ordinaire |
0.7 |
|
Services d'appui technique, d�penses de personnel (cadre organique) |
344 |
|
Services d'appui technique, % de l'ex�cution |
4% |
R�sultats du Programme |
|||||||
|
Approuv�es |
Supprim�es/ |
Non planifi�es |
Total |
Ex�cut�es |
Ex�cution en |
|
Non modifi�es |
Modifi�es |
||||||
M�thodologies et directives |
3 |
(2) |
0 |
1 |
1 |
0 |
33% |
Coordination et �change d'informations |
4 |
0 |
0 |
4 |
4 |
0 |
100% |
Syst�mes d'information et bases de donn�es |
1 |
(1) |
0 |
0 |
0 |
0 |
0% |
Engagements et accords internationaux |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
R�unions |
10 |
(1) |
1 |
10 |
10 |
0 |
100% |
Publications |
16 |
(7) |
0 |
9 |
9 |
0 |
56% |
Formation |
1 |
0 |
0 |
1 |
1 |
0 |
100% |
Appui aux �tats Membres et aux activit�s de terrain |
16 |
(2) |
2 |
16 |
14 |
2 |
100% |
246. Les principaux objectifs du programme ont consist� � r�aliser des �valuations des questions touchant l'agriculture et l'alimentation dans le monde et � am�liorer les connaissances concernant la s�curit� alimentaire et la durabilit�. Les travaux ont commenc� sur la prochaine version de Agriculture: horizon 2015/30. Des contributions ont �t� apport�es en vue d'une meilleure compr�hension de l'�volution du commerce agricole mondial et de la promotion de march�s plus rationnels et plus �quitables. Un appui a �t� fourni pour le renforcement des capacit�s eu �gard � l'application des accords du Cycle d'Uruguay et la pr�paration du prochain cycle de n�gociations commerciales multilat�rales. Le Comit� de la s�curit� alimentaire mondiale s'est charg� de contr�ler les activit�s de suivi du Sommet mondial de l'alimentation.
247. �tudes prospectives mondiales. On a commenc� � pr�parer la mise � jour de l'�tude Agriculture: horizon 2010, appel�e provisoirement Agriculture: horizon 2015/30, y compris la mise � jour de sa base d'information et des exercices de projection. Un rapport technique int�rimaire devrait �tre termin� en avril 2000. Un �change de donn�es a eu lieu avec membres et non-membres de l'ONU des organisations n'en faisant pas partie, notamment l'ONU/D�partement des affaires �conomiques et sociales (DAES), la banque mondiale, l'USDA, l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) et l'Institut international pour la gestion de l'eau (IWMI).
248. Politiques et commerce international des produits. On a continu� � s'occuper essentiellement de l'analyse des politiques et de la recherche sur les produits et le commerce pour am�liorer la transparence, aider les n�gociations commerciales et d�gager un consensus international. Les r�sultats ont �t� diffus�s gr�ce � divers m�canismes, y compris le CP et les Groupes intergouvernementaux, des consultations entre producteurs et consommateurs et des conseils aux pays en d�veloppement par le biais d'activit�s de formation qui ont b�n�fici� d'un financement extrabudg�taire. Les consultations sur les produits entre producteurs et consommateurs ont port� essentiellement sur le r�examen des modalit�s d'aide et de protection de l'agriculture dans les pays d�velopp�s et en d�veloppement et l'�valuation de l'exp�rience des pays en d�veloppement concernant l'application de l'Accord sur l'agriculture du Cycle d'Uruguay.
249. La r�forme des groupes intergouvernementaux, approuv�e par le CP s'est traduite par des �conomies, gr�ce � des sessions plus courtes et moins fr�quentes et � une documentation moins volumineuse: en 1998-99, 11 sessions de groupe intergouvernemental ont co�t� 266 000 dollars E.-U contre 836 000 dollars pour 10 sessions en 1992-93. Dans le cadre des Groupes intergouvernementaux, une plus grande importance a �t� accord�e � l'analyse des liens entre l'�volution des biotechnologies et le commerce, les incidences du commerce des produits sur l'ins�curit� alimentaire et le suivi du Sommet mondial de l'alimentation. On s'est efforc� de renforcer les partenariats entre parties int�ress�es par le d�veloppement du commerce international des produits, gr�ce � des r�seaux � la coop�ration avec des organismes internationaux et � des conf�rences sur la situation des march�s prioritaires et les questions de politique. La Conf�rence internationale sur le coton (Chine, 1999) et la Conf�rence FAO-Cuba sur le sucre (Cuba, 1999) ont b�n�fici� d'un soutien. Elles ont toutes deux suscit� un vaste enthousiasme et ont mobilis� les ressources voulues pour couvrir leurs co�ts. Un appui a �t� accord� aux conf�rences internationales sur les produits laitiers, notamment en ce qui concerne le programme de distribution de lait dans les �coles et l'analyse de l'impact des n�gociations commerciales multilat�rales.
250. Des mesures de d�veloppement des march�s des produits dans le cadre des Groupes intergouvernementaux ayant le statut d'organisme international de produit (OIP) aupr�s du Fonds commun pour les produits de base ont �t� appliqu�es pour mobiliser des fonds � l'appui de projets prioritaires. Certaines instances internationales, telles que le Sous-groupe des produits tropicaux nouvellement cr��, se sont pench�es sur les probl�mes de la commercialisation de produits s�lectionn�s. Certains autres produits ont �t� choisis par les Groupes intergouvernementaux pour b�n�ficier de mesures de d�veloppement financ�es par le Fonds commun. Le Bureau ex�cutif du Fonds commun a approuv� neuf projets parrain�s par la FAO pour un budget de 17 millions de dollars E.-U. Ces produits sont notamment les bananes, les agrumes, le coco, les produits de la p�che, les c�r�ales, le sorgho, les fruits tropicaux, les cuirs et les peaux. Conform�ment aux priorit�s du Fonds, ces projets profiteront aux pays les moins avanc�s.
251. L'assistance technique fournie pour les n�gociations commerciales multilat�rales a concern� notamment:
On a concentr� l'assistance technique sur le renforcement des capacit�s des pays en d�veloppement pour les aider � pr�parer les prochaines n�gociations commerciales multilat�rales sur l'agriculture. Des ateliers nationaux et r�gionaux sur cette question ont �t� organis�s en Afrique, en Asie, en Am�rique latine, en Europe centrale et orientale et au Proche-Orient. Malgr� un nombre plus important d'ateliers de ce type, dont certains ont b�n�fici� de fonds extrabudg�taire, des besoins de formation sont rest�s insatisfaits aux niveaux sous-r�gional et national.
252. L'assistance technique li�e au commerce a consist� notamment � r�examiner les politiques sur l'alimentation et l'agriculture appliqu�es actuellement dans les pays en d�veloppement, � �valuer leur compatibilit� avec celles qui ont �t� adopt�es dans le cadre de l'OMC et � faire en sorte que les politiques agricoles nationales int�grent les probl�mes relatifs au commerce. La FAO a contribu� � la pr�paration du nouveau cycle de n�gociations commerciales multilat�rales qui ont abouti � la r�union minist�rielle de Seattle (novembre 1999) et fourni un soutien dans le cadre d'une consultation d'experts sur l'exp�rience des pays d�velopp�s dans l'application de l'accord sur l'agriculture, d'un Colloque sur l'agriculture, le commerce et la s�curit� alimentaire organis� � Gen�ve et d'une Conf�rence FAO/OMS sur le commerce international des denr�es alimentaires au-del� de l'an 2000. Une Consultation d'experts sur la politique et le commerce du sucre dans les pays ACP s'est tenue au Swaziland en 1999 afin de pr�parer les nouvelles n�gociations commerciales multilat�rales. Un site Internet sur le suivi du Cycle d'Uruguay (www.fao.org/ur) a �t� cr�� pour permettre la diffusion d'informations sur les activit�s et les analyses de la FAO.
253. Les travaux men�s en collaboration avec d'autres organisations ont �t� notamment des consultations avec l'OMC, la Conf�rence des Nations Unies sur le commerce et le d�veloppement (CNUCED), l'Organisation de coop�ration et de d�veloppement �conomiques (OCDE), la Banque mondiale et le Fonds mon�taire international (FMI) et leur participation aux activit�s r�gionales et nationales. La FAO a fourni au Comit� sur l'agriculture de l'OMC des informations pour lui permettre de r�examiner la D�cision de Marrakech sur les mesures concernant les incidences �ventuellement n�gatives du programme de r�forme sur les pays les moins avanc�s et les pays en d�veloppement importateurs nets de produits alimentaires. Des contributions ont �t� apport�es au Groupe sp�cial international sur la gestion des risques li�s aux produits, cr�� par la Banque mondiale, afin de r�soudre les probl�mes d'ins�curit� alimentaire qui se posent aux pays en d�veloppement en raison de l'instabilit� des cours. On a continu� la collaboration avec les ONG s'occupant de questions commerciales, en leur fournissant une aide pour mieux comprendre l'enjeu des n�gociations multilat�rales et formuler des propositions portant sur des r�formes agricoles.
254. Analyse de la s�curit� alimentaire mondiale. Le rapport, Progr�s dans l'application du plan d'action du SMA , fond� sur les rapports provenant de 98 pays membres de la FAO et 33 organisations internationales, r�gionales ou sous-r�gionales et d'ONG, a �t� pr�par� afin d'�tre examin� par le CSA en 1998. En 1999, le Comit� a �tabli son calendrier de travail et d�fini les modalit�s de pr�sentation des rapports pour assurer le suivi du Plan d'action du SMA en 2000 et au-del�.
255. Des rapports d'�valuation sur la s�curit� alimentaire ont �t� pr�sent�s aux sessions du CSA de 1998 et de 1999 et des �tudes ont d�marr� sur des syst�mes nationaux d'aide alimentaire, l'impact de la lib�ralisation des march�s sur la s�curit� alimentaire en Afrique australe et la performance des banques c�r�ali�res en Afrique de l'Ouest. Des informations sur des questions touchant aux progr�s r�alis�s en vue d'atteindre les objectifs du SMA ont �t� fournies � l'ONU ainsi qu'� des partenaires gouvernementaux et non gouvernementaux.